L'inconnaissance du temps perdu. [Libre]

Le ciel était grisâtre, il annonca un temps de pluie, un émotion similaire à celui que Minaky ressentait tout au fond d'elle. Elle était libre, sa personne sentait le vent qui lui était une vieille mémoire perdu. Quelques larmes coulèrent sur ses joues de jeune fille. Quel jour étions-nous? Elle l'ignorait, elle refusa de regarder le temps perdu... et de revoir cette école, où elle faisait ces études pour le moment. C'était silence dans les rues, mais les restaurants semblaient être déborder autant que les hôtels. C'était le mois de? Cela, aussi était à éviter... Son frère ne svait rien de se qu'elle vivait... et ne devait pas le savoir. La jeune fille alors, supportait depuis quelques semaines, si ce n'était pas des mois, un secret de plus. Un secret qui était de trop, il faisait mal.

*Misère...*

Minaky était à genoux, face à l'église, peu de personne s'y tenait... en fait, peu ne s'y tenait près des arbres de la cour arrière, c'était tranquille. Seulement, l'âme de l'écolière n'était pas en paix pour autant, à chaque son de pas, une crainte l'envahissait et son petit coeur commencait à débattre à chaque bruitage. Elle s'accroupit, celle-ci qui était debout, admirant la croix se tenant au haut de l'église. C'était un jour sombre. Elle se boucha les oreilles à l'aide de ses bras, et ses mains. Soudainement, de la faible pluie se déversa du toît, la veille il avait plu énormément et le sol était mouiller... se qui n'empêcha, par contre, aucunement la jeune à s'y asseoir. Elle était vêtu d'un style simple, une veste quadrillé, rouge était le principale vêtement. En dessous, il avait une robe sombre... elle portait aussi des bottes brune assez longue à ces pieds. Ces cheveux longs, étaient en toute liberté, même qu'il suivait le vent parfaitement.

*Le vent est glacial...*

Sentir, le vent qui ôtait les larmes, pour en faire couler d'autre était une sorte de douleur. C'était comme pour un instant une torture à sa propre personne, qui oubliait tout se que contenait sa tête rempli de secret... qui dit secret, dira aussi mensonge. Son être était au milieu de nulle part, afin si: Dans la cour arrière de l'église, dans le quartier de la vieille ville, c'était un simple point géographique. C'est alors que sa voix tentant d'envoyer dans l'air ambiant des paroles flous, se fit couper par le vent. Ses mains délaissait l'ouie, et enfin le son dun vent se fit entendre, il était bruyant, et se faisait imposant. Son cellulaire, était hors de connexion, tellement que c'était venteux...

Les larmes coulaient toujours, maintenant dû au froid, mais avec tout de même un peu à la douleur. Ses cheveux étaient emmêlés, ils allaient être un défi, mais Mina-chan, soeur d'Itsu, ne s'en faisait pas trop, pour si peu. Ce n'était que physique. Alors que son psychologique n'allait pas si bien, pourquoi essayer de passer le physique avant?

*Suis-je folle... ?*

Non, sa reflexion sur le fait psychologique et physique, n'était pas faux... mais ce qui dit mensonge, dit apparence trompeuse. Son coeur s'avait calmer un peu côté débattement, mais il cria de pleur soudainement. Alors le liquide provenant de ses yeux recommenca à être essuyer aux vent... cependent actuellement, puisqu'il y en avait tant, certaines avaient fièrement glisser sur sa joue, qui était devenue rouge. Le vent, diminua la température, il semblait ainsi faire plus froid. Assit sur la neige froide (Ou la pluie...), sa personne se laissait souffrir, et personne, ne la chercha semblait-il.

[Bah, voilà tout, pour ceux que ca intéresse voilà l'image de l'habit de Minaky (J'aime mieux ca comme ca, ca aide à la compréhension): Cliquez.... de plus le lieu n'a rien d'exceptionnel, choix hasardeux... n'importe qui peut répondre... possibilité de changement.]

Sous une sensation bizarre et désagréable, Minaky sentait pertinemment une présence dans son dos. Qui était-ce? Quelle personne venait la voir elle? Un assasin? Un voleur? Après tout cela n'aurait pas été très surprenant pour la jeune. Mais avant elle jeta un coup d'oeuil rapide. Il s'y tenait une fille semblant vouloir la consoler. Qui pouvait bien essayer de faire ca? Malgrés cela la personne qui se tenait là ne semblait pas réellement cruelle mais parfois certaines personnes portent un masque pour camoufler leur personalité totalement cruel et sans sens. La jeune Miruto, ne savait pas exactement quoi dire. Devait-elle répondre? Ou rester là à la fixer?

*Qu'est-ce qu'elle fait là?*

C'était une question totalement raisonnable, puisque nous étions à l'église où peu de personne... traînent. Minaky aurait pu la frapper, mais elle n'était pas du genre à frapper n'importe qui, bien que quelque rare exception... il se pourrait. L'écolièr prononca ses premières paroles, se questionnant plus sur les faits de la présence de cette personne en ses lieux que sa situation actuelle. Était-elle dans un si misérable état qu'on voulait la prendre dans ses bras? Non, elle n'avait pas le droit de s'approcher de quiconque.

- ... Vous êtes?

Déviation, peut-être? Non, la jeune Minaky ne savait seulement pas poser la question correctement sans connaître cette personne. Une hésitation avait été la justification juste. Ses larmes ne coulaient plus et son expression triste devenait plus comme un mythe lorsqu'elle se retourna vers Shizuyo. C'était comme un silence profond qui se préparait à être installé. Son expression, avait changer pour une expression neutre. Incapable de sourire, elle se contenta de ceci. Tant de malheur, cependant pendant un faible instant cette jeune, aux cheveux de couleur rapproché aux caramels, se sentit soulagée. Soulagée, car ce n'était pas ce monstre de Kaneo. Ce n'était pas Itsu.

*... Ce n'était pas lui.*

Un secret misérable hantait son coeur. Un malheur, pour tout ceux qui s'approche d'elle. Elle se répéta cela, elle s'en rappela vaguement. Elle voulut l'ignorer parmis ces flocons de neiges. Dans un monde, une dimension, c'est dans cela qu'elle avait toujours vécue. Et la politesse? Et la politesse, oui. C'est ainsi que Minaky Miruto en vînt à la conclusion de retirer cette question que son être détestait tant.

-Laissez, je ne veux... pas.. le savoir.

Mot durement, embrouiller par l'essaie de cacher ses larmes aux plus profond de sa personne. Un faire similaire aux anciens. Une routine qui en devenait interminable... c'était ainsi. Elle se leva précipitemment, regarda la jeune fille. Elle ne semblait pas être comme les autres. Celle-ci ne semblait pas lui vouloir de mal.

-Vous allez bien?

Question que peut-être l'écolière devrait se poser à sa propre personne, mais elle ne le faisait pas.