Comme toujours ma chère maman, s'occupa de la clientèle mais vers cette heure là; personne ne rôdait dans l'entrée de l'hôtel. C'est aussi à cette heure, où presque personne n'ose directement entrer, qui j'y venais faire le ménage. Maman et papa, occupés à l'étage, servaient si bien leurs clients réguliers tout autant que ceux qui se faisaient rare. C'était le classique, tout comme l'air de musique qui jouait en harmonie à la décoration, ni trop riche, ni trop pauvre.
Soudain je sursauta, par un bruit que la porte émetta, dont je n'étais que peu habituer à entendre le son. C'était quelqu'un de classe, moyenne ou pauvre... je ne savais pas clairement classifier les gens selon ses classes si compliqué, et toujours, même, cela est.
Ignorant comment répondre autre que par la normalité de communication humaine, je ne su que point dire à ce début de phrase, certe la fatigue envahissait le jeune homme devant moi... et j'aurais bien aimer aider, tout autant que d'être pour une fois plus utile que pour dégager ces tas de poussières. Un enfant, une personne, ou quoi que vous désirez, aurait surement agit en criant, en appelant les responsables.
L'homme, peut-être, aurait pu comprendre que je n'étais pas doué de parole... si seulement c'était plus reconnu... mais non, c'était vrai que régulièrement, rarement ou que quelque fois où on pouvait croiser un aveugle ou un sourd... mais les autres sens n'étant que rarement reconnu des médecins, restait un peu plus à part des possibilités.
Tout ce que je pu faire pour cette personne, se résuma à s'abaisser frugalement la tête par politesse... ensuite je retourna à mon travail sans dire une simple parole, car c'était de toute normalité chez moi. Épousseter, laver et faire le ménage se préparèrent si prompt à être ma besogne de ce soir. Je ne pu rien, j'étais de toute inutilité, ma voix était se qui me priva tout contacte humain. Si je n'étais pas ainsi, si ... si je serais plus utile?
Je ne savais pas comment agir, en fait, il allait probablement s'assoupir là, selon mon dernier regard porté sur lui discrètement.