La pitier envahissante. [Libération de Mina-chan.]

Minaky était endormie, elle était sur quelque chose de mou, un sofa probablement. Lorsqu'elle s'éveilla, elle se rappela parfaitement qui étais le coupable. Kaneo chiori, il n'y avait aucun doute que cet homme sans scrupule ait osé l'enlever. Mina-chan était appeuré, elle n'avait pu rien dire... elle était faible. La jeune écolière sentit des larmes fragiles couler sur ses joues... Est-ce que cet horreur allait recommencer... Allait-elle devoir tout quitter? Quitter quoi au fait? Elle avait essayer de limiter ces contactes cette fois-ci. Celle-ci s'était mise en boule, son savoir ne lui disait pour l'instant aucun doute où elle était tout était flou... Ça n'allait pas pour le mieu. Ses bottes étaient encore à ses pieds, ses maines les sentaient.

*Depuis combien de temps suis-je ici?*

C'est alors qu'aussi innocente comme le prétend si bien Kaneo, celle-ci se releva, pied sur le sol de la pièce. Sa mémoire lui revenait, oui, c'était ici, son ancien appartement... Celui qui la faisait tant souffrir, sa vue s'embrumait encore... et ses genoux prennaient le sol.

*Je ne dois pas être aussi faible! Je dois..*

La jeune fille prénommé Minaky ouvra ses yeux en larmes, et essuya celles-ci qui devenait de plus en plus gênante. Sa respiration était tout de même troubler de chagrin, et la solution était simple à son opinion; se relever. L'heure qui était afficher était celle d'une heure avant la cérémonie de la fête de noël qui n'était pas dans les pensées de celle-ci. Ses mains tremblaient un peu, en voyant par la suite un calendrier où était les "x", et selon celui-ci, sa fête n'avait été rien... et aujourd'hui c'était un grand jour... Noël, la crémonie de noël. Itsu l'attendrait probablement, et ... son enlèvement ne serait d'aucun soupçon... mais ... mais que devait-elle faire du choix de le dire ou de le cacher? Elle désirait certainement ne pas garder cela pour elle, surtout que ce batteur de rue lui avait fait tant de mal! Seulement, si la nommé Minaky disait tout à son frère s'était probablement la fin total, sa personne allait devoir quitter les lieux indéfinitivement! Où pourrait-elle se retrouver encore?

-Pourquoi moi?

Cette phrase qu'on montre et qu'on croit qui n'est que prononcer dans les téléserie dramatique venait d'être prononcer par cette fille, cette fille qui est troublée et subie une incompréhension choquante. Que faire? Elle n'en avait aucune idée. Son regard se pencha avec la visibilité qu'il restait vers le verre de vin. Il faulait absolument qu'il soit soul pour poouvoir la laisser finalement... c'était qu'un idiot, Kaneo n'était qu'un idiot qui désirait au plus grand point la souffrance de Mina-chan.

*Je veux ... qu'il ne soit plus de ma vie...*

C'était un souhait déjà pronnoncer mais qui devenait de jour en jour, une peu moins réalisable. C'était tout de même son souhait. Si Kaneo disparaissait de sa vie, elle allait pouvoir enfin être libre et voler de ses propres ailes. Cette fille, n'est pas comme les autres, la souffrance et la réel amitier ne lui était jamais été offerte autre que celle que son père, Ryogi et son frère lui avaient offert. Son regard continuait de voler dans son ancien salon, son ancienne demeure. Sa vue s'accrocha à quelque chose de pertinent. Cette robe, qui était devenue presque comme une légende était là, étendu sur une chaise de cuisine au loin.

*Mère...*

Sa personne et son esprit se rapprocha avec une légèreté vers celle-ci, et autre chose se fut mettre en valeur, un bout de papier. "Cesse d'être si naïve et joyeux noël.". C'était l'écriture de Kaneo, soul sans doute. Au papier, la jeune fille forma une boule de papier. Ses mains toucha le doux tissu de l'ancienne robe de sa mère. L'odeur y était toujours. Ils avaient oser voler cette objet si précieu. Un mémoire se joignit très fièrement à cela lui rappelant que s'était la robe de son premier bal, celui des finissants... Où elle avait danser avec son ancien mari.

*Si tu étais toujours là...*

Soudainement sur sa joue, le vent fit apparition. Une fenêtre était ouverte, elle alla la fermer. Subitement la jeune Minaky se leva et prenna son courage à deux mains! Plus qu'une heure ; elle devait se préparer! Puisqu'elle ne voulait pas perdre la dernière odeur aussi faible qu'elle soit, cette robe ne serait pas pour cette soirée.

...

Un peu plus tard, après quelques pas de course, elle arriva chez son chez-elle actuelle. La porte fut gentille avec la jeune pour peut-être la première fois de sa vie, celle-ci se laissa ouvrir facilement! Plus que 25 minutes, 30 secondes et 10 millième de seconde pour se préparer. Pour la cause n'ayant plus beaucoup de temps, quelques morceaux de linge de sa garde-robe allaient devoir lui procurer une robe. Après avoir choisit et agencé, croyant que cela serait parfait, Mina-chan enfila le bout de tissu blanchâtre. Son espoir, qui avait bien raison d'être, lui disait que cette année sera comme les autres années avec cet assemblement de vêtments : sa personne serait encore l'objet de décoration matière habillement en tout cas.

*Fini. Mais surtout il ne faut pas qu'Itsu ait un doute, donc pas de retard extrême...*

La jeune écolière dans sa robe composée que plusieurs fringues, regarda l'horloge. En retard!

*Zut, faut que je me dépêche...*

La robe de sa mère avait été délicatement posée sur le sofa, donc aucune crainte pour la friperie y était destiné. Le mirroir était la prochaine étape, puisque la maquillage n'était pas dans ses habitudes, celui-ci fut mis à l'abandon. Sa coiffure, cependent allait devoir être un peu mieux. Une barette par-ci et par-là. Et voilà le coup était joué.